Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le blog du syndicat CGT de la MEL
  • : L'actualité du syndicat CGT de la MEL
  • Contact

Nos Journaux

    à voir ici !

 

Recherche

Vos élus en CAP & CTP

        elus ctp capv2

Votre carrière

votrecarriere

Merci à la CGT

Conseil General du Puy de Dome

Le coin des cadres

Catégories

Le FN, le pire ennemi des salariés

fn pire ennemi

Nous contacter :

Syndicat CGT-LMCU
Hotel de Communauté
59034 LILLE cedex

Tel: 0320212346

e-mail :
syndicat_cgt@lillemetropole.fr

Contacter l'administrateur

     mailcgt

14 avril 2016 4 14 /04 /avril /2016 10:33

 

 

Le Casse du siècle révélé par les Panama Papers

 

 

Les scandales révélés par les Panama Papers, la plus grosse fuite d’informations exploitée, montrent si besoin était l’importance du rôle des journalistes et des lanceurs d’alerte pour faire la lumière sur l’un des plus grands pillages réalisés par l’intermédiaire des paradis fiscaux. Paradis qu’on nous disait éradiqués depuis 2009.

 

Les turpitudes de chefs d’Etat ou de leurs proches, d’hommes politiques, de dirigeants sportifs ou de sportifs de très haut niveau, de dirigeants d’entreprises, de banquiers sont ainsi révélées.
Le SNJ-CGT ne peut que se réjouir du rôle des journalistes dans la publication de ce gigantesque hold-up.

 

 

Dans ce palmarès de la fraude fiscale ou du blanchiment divers, la France, malgré les promesses, figure en bonne place. L’ampleur de l’évasion fiscale a provoqué stupeur et colère au moment où l’austérité frappe le citoyen lambda et où la loi El Khomri va par ses effets accroître les difficultés des salariés.

 

Le SNJ-CGT s’interroge sur le service minimum dans cette affaire rendu par les médias appartenant au groupe Altice de Patrick Drahi (Libération, L'Express, BFMTV, RMC). Par exemple Christophe Barbier sur le site de l’Express ne dit rien qui puisse fâcher son actionnaire, il ne cite même pas son nom. Dans son éditorial, Laurent Joffrin insiste plus sur le démenti publié par l’actionnaire de Libération que sur l’information elle-même. Est-ce au nom de l’indépendance rédactionnelle que ces éditorialistes sont si peu curieux ?

 

 

Pourtant Altice a reconnu l’existence d’une société panaméenne entre 2008 et 2010, assurant du caractère légal de l’opération et des liens avec le cabinet panaméen Mossack Fonseca, spécialiste de la domiciliation des sociétés offshore.

 

Le SNJ-CGT appelle les députés européens à prendre toute leur responsabilité lors du prochain vote le 14 avril au Parlement européen et à rejeter la Directive européenne concernant le secret des affaires.


En effet les révélations des Panama Papers auraient été impossibles si une telle directive venait à être entérinée. Mossack Fonseca, le cabinet d'avocats panaméens au centre du scandale a effet lancé une mise en garde explicite aux journalistes : « Il semble que vous ayez eu accès de façon non autorisée à des documents et des informations appartenant à notre entreprise et les ayez présentés et interprétés hors de leur contexte. Nous ne doutons pas que vous sachiez parfaitement qu'utiliser des informations ou de la documentation obtenus illégalement est un crime, et nous n'hésiterons pas à utiliser tous les recours pénaux et civils disponibles »

 

C’est pourquoi le SNJ-CGT mène campagne avec la coalition européenne d'associations, de syndicats, de journalistes, de lanceurs d'alerte et de scientifiques et demande aux membres du Parlement Européen de rejeter ce texte et à la Commission Européenne d'en proposer une version conforme avec les exigences de transparence.

 

 

Partager cet article

11 avril 2016 1 11 /04 /avril /2016 10:54

 

 

Loi travail. Toujours déterminés à gagner le retrait !

 

 

Cette nouvelle journée de mobilisation, la première un samedi, depuis le début de la bataille pour le retrait du projet de loi travail, se situe en pleine période de congés scolaires. Néanmoins, le nombre de manifestations recensées, plus de 200 montre que la détermination ne faiblit pas.

 

Ce samedi 9 avril aura permis à des milliers de citoyens et de salariés n’ayant pu se mobiliser jusque-là, de s’inscrire dans le mouvement pour le retrait de la loi et pour un code du travail du 21ème siècle.

 

Nul doute que la prochaine journée nationale d’action et de grève interprofessionnelle du 28 avril sera un nouveau temps fort.

 

 

D’ici le 28 avril et afin d’ancrer encore plus le mouvement dans les entreprises comme dans les territoires, toutes les formes d’actions et d’initiatives seront prises pour continuer à élargir le rapport de force.

 

Ainsi, nous obtiendrons le retrait de ce projet de loi régressif pour les salariés.

 

Ainsi, nous gagnerons de nouvelles conquêtes sociales, seules à même de créer de l’emploi et d’inverser la courbe du chômage.

 

Partager cet article

7 avril 2016 4 07 /04 /avril /2016 09:25
Contre la loi El Khomri : un 31 mars et ça repart !
Contre la loi El Khomri : un 31 mars et ça repart !
Contre la loi El Khomri : un 31 mars et ça repart !

Partager cet article

6 avril 2016 3 06 /04 /avril /2016 13:31

Soutien aux 13 militant-es du CHRU de Lille

 

 

Après les 8 GOODYEARS, le gouvernement Valls, amplifie la répression syndicale …

 

 

 

 

13 militant-es de la CGT du CHRU de Lille et 2 agents sont convoqué-es au commissariat de Police de Lille sur demande du Procureur de la République sur la période du 04 avril au 21 avril 2016 pour des faits remontant au 28 novembre 2014 !

 

 

Nos camarades sont convoqué-es pour des faits que le Procureur de la République souhaite qualifier de Séquestration.

 

 

A l’issue des premières auditions, qui ont duré plus d’une heure trente pour chacune des personnes convoquées, nos camarades ont eu « droit » à la prise d’empreintes, d’ADN et photos. Il y a bien une volonté de traiter les militants comme des CRIMINELS.

 

 

Une fois de plus, ce gouvernement, car OUI, il y a bien une volonté POLITIQUE de ce gouvernement de Criminaliser l’action syndicale, affiche sa volonté de mettre les Procureurs, les Forces de l'’Ordre et les Administrations au service de la destruction du mouvement syndical, pour briser toute RESISTANCE.

 

 

Après les 8 GOODYEARS (condamnés en première Instance par le Tribunal d’Amiens, le 12 janvier 2016, à 24 mois de prison dont 9 mois fermes et 5 ans de mise à l’épreuve) et toutes les répressions que connaissent les militant-es de notre secteur, ce gouvernement veut maintenant s’'attaquer aux militants et aux salariés des Services Publics et plus particulièrement à l’'Hôpital Public. Avec pour seule finalité de faire passer des mesures nauséabondes qui aggravent aussi les conditions de travail, d'’offrir l’Hôpital Public au privé et détruire des dizaines de milliers d’emplois.

 

 

 

Demain, le 7 Avril 2016, les Deux agents du CHU de Lille défendues par la CGT sont convoquées  au commissariat central pour être auditionnées pour des faits que le Procureur souhaite qualifier de "Séquestration",

 

 

Nous appelons toutes les militantes et tous les militants du département à les soutenir en se rassemblant demain, le jeudi 07 Avril à 10H00 devant le Commissariat central de Lille.

 

 

 

Partager cet article

6 avril 2016 3 06 /04 /avril /2016 09:15

Après l'immense mobilisation du 31 mars :

Une seule issue : LE RETRAIT

 

 

 

 

 

 

Partager cet article

25 mars 2016 5 25 /03 /mars /2016 15:09

Contre la loi El Khomri, tous en grève le 31 mars !

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article

24 mars 2016 4 24 /03 /mars /2016 11:33

 

La Belgique a été frappée mardi 22 mars par un acte barbare et meurtrier

 

 

 

 

Nous condamnons avec force le lâche attentat qui a fait 31 morts et des centaines de blessés à Bruxelles. La CGT et ses organisations sont en deuil avec le peuple belge.

 

Ces attentats frappent les populations dans de nombreux pays.
Bruxelles, Grand Bassam, Paris, Beyrouth, Ankara, Tunis... autant d’actes meurtriers qui nous appellent à réaffirmer et à faire vivre nos valeurs communes et demandent plus que jamais le renforcement de la solidarité internationale du monde du travail !

 

Contre le terrorisme, nous devons œuvrer tous ensemble pour la paix, la justice sociale et pour les libertés. Nous n’allons pas le suivre dans sa volonté de nous entraîner dans la xénophobie et le racisme. Certes, cette situation douloureuse interpelle la conscience de chacun des citoyens, mais c’est bien le combat pour la justice sociale qui fera reculer les guerres, le terrorisme, le fondamentalisme, l’obscurantisme et la régression.

 

 

Nous rejetons la stigmatisation et l’intolérance visant une partie de la population en raison de son origine, de son milieu social ou de sa religion et nous continuerons à combattre toutes les attitudes de ce type.

 

Pour la CGT, le renforcement de la sécurité et des libertés des citoyens est nécessaire sans pour autant confondre déploiement des forces de l’ordre et restriction des libertés individuelles et collectives.


C’est pourquoi, plus que jamais, la CGT appelle les salariés à refuser tous les reculs sociaux provocants l’exaspération, le repli sur soi et la haine de l’autre.

 

Nous exprimons notre solidarité aux blessé-e-s, aux familles des victimes, et à tous les travailleurs belges.

 

Partager cet article

21 mars 2016 1 21 /03 /mars /2016 14:19

 

Augmentation du point d'indice : le compte n'y est pas !

 

 

 

 

Le dégel du point d’indice a été obtenu par la mobilisation.
Les augmentations d’un niveau satisfaisant le seront par la même voie !


A l’occasion du rendez-vous salarial ce jeudi 17 mars, la ministre de la Fonction publique vient d’annoncer le dégel de la valeur du point d’indice.


Cette annonce importante marque la fin d’une période inédite de près de 6 ans de gel de la valeur du point. Cette rupture est à mettre au crédit de la mobilisation des agents de la Fonction publique et de leurs organisations syndicales. Avec les personnels, la CGT s’en félicite.

 

 

Cela étant dit, si on la rapporte aux pertes accumulées ces dernières années (6 % depuis 2010), l’augmentation annoncée – 0,6 % en juillet 2016 et 0,6 % en février 2017– est d’un niveau notoirement insuffisant au regard de la situation salariale des agents et des besoins de l’économie en termes de relance par la consommation.

 

Les agents de la Fonction publique ne peuvent rester la variable d’ajustements budgétaires des injustes politiques d’austérité. Un service public efficace, au service d’une population en augmentation constante, implique aussi une reconnaissance par la rémunération de ses agents.

 

Les déroulements de carrières des agents de la Fonction publique ayant connu un net ralentissement, il est infondé et malhonnête d’affirmer qu’ils ont bénéficié d’augmentations significatives du pouvoir d’achat pendant la période du gel du point d’indice.

 

Pour la CGT, une augmentation significative du point d’indice, cumulée à un rattrapage des pertes accumulées, restent les revendications fondamentales après ces presque 6 années blanches.

 

La ministre doit donc revoir sa copie et revenir avec des propositions réellement ambitieuses.

 

 


Dans ces conditions, la CGT appelle les agents de la Fonction publique à poursuivre la mobilisation.
A cet effet, elle a déposé un préavis de grève du 17 au 31 mars, permettant aux agents de participer aux actions organisées durant cette période.

 


La CGT appelle à une semaine d’initiatives revendicatives sur les salaires du 21 au 25 mars.

 

Enfin elle se prononce pour une journée de grève et de manifestations dans la Fonction publique durant le mois d’avril, journée qu’elle souhaite construire dans l’unité la plus large.

 

Partager cet article

16 mars 2016 3 16 /03 /mars /2016 10:09

Déclaration commune CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL

 

 

 

 

Les mobilisations, notamment celles du 9 mars initiées par les organisations de jeunesse et les organisations syndicales de salariés (CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL), ont contraint le gouvernement à des concessions sur la loi Travail.

 

Pour autant les aménagements annoncés par le Premier Ministre ne changent pas la philosophie générale du projet. Il ne répond pas aux aspirations fortes, exprimées par les jeunes, les salarié-e-s et les chômeurs pour l’accès à l’emploi et sa sécurisation. La création d’emplois de qualité ne justifie pas la casse du code du travail mais nécessite un changement de politique économique et sociale.

 

 

Ce texte continue à diminuer les droits des salarié-e-s et à accroître la précarité, notamment des jeunes. Décentralisation de la négociation collective au niveau de l’entreprise et affaiblissement des conventions collectives de branches, fragilisation des droits individuels acquis, mise en cause des majorations des heures supplémentaires, facilitations des licenciements, affaiblissement de la médecine du travail… sont autant d’exemples de régressions qui demeurent.

 

L’universalité de la garantie jeune sans les moyens en conséquence relève d’un effet d’annonce. Face au chômage et à la précarité auxquels sont confrontés les salarié-e-s, les femmes et les jeunes en particulier, l’urgence est à la conquête de nouveaux droits.

 

 

Les organisations syndicales (CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL) soutiennent et appuient les actions des 17 et 24 mars. Elles confirment leur appel à la mobilisation par la grève et les manifestations le 31 mars pour obtenir le retrait de ce projet de loi et conquérir de nouvelles garanties et protections collectives.

 

Paris, le 14 mars 2016

Partager cet article

10 mars 2016 4 10 /03 /mars /2016 08:07

Un 9 mars intergénérationnel d’indignation, de revendications, et de très fortes mobilisations

 

 

Dans un contexte de fortes attentes sociales, où de plus en plus de voix s’élèvent et se manifestent au sein de toutes les couches de la société pour demander moins de précarité, plus d’emplois, plus de moyens pour vivre convenablement autour de plus de solidarité.

 

Cette journée d’action du 9 mars est une première réponse du monde du travail et de la jeunesse face à l’intransigeance du gouvernement et l’arrogance du patronat dans la conduite de plusieurs réformes rétrogrades en particulier celle du code du travail.

 

A l’appel de 22 organisations de jeunesse et de plusieurs organisations syndicales ce sont plus de 144 lieux de manifestations et de rassemblements unitaires qui ont été recensés dans le pays. Cette première mobilisation est incontestablement une grande réussite avec plus de 450000 manifestants descendus dans la rue.

 

 

Elle constitue un formidable point d’appui pour les futures mobilisations, notamment celles des retraités le 10 mars, des fonctionnaires le 22 mars ou encore celles de milliers de salariés dans les entreprises qui, luttent quotidiennement pour améliorer leurs condition de travail, leurs salaires, défendent leur emplois, résistent aux répressions syndicales. C’est un bon tremplin pour réussir les prochains rendez-vous jusqu’à l’appel unitaire du 31 mars prochain.

 

Cette journée est un premier avertissement lancé à l’exécutif, il ne peut rester sourd devant l’inquiétude et les attentes qu’exprime une grande partie de la société.

 

Dès le 14 mars, le gouvernement doit retirer son projet de loi actuel sur le code du travail et ouvrir de véritables négociations avec les organisations syndicales en s’appuyant sur les propositions réellement modernes et protectrices pour les salariés.

 

 

L’engagement de milliers de jeunes, le niveau de mobilisation des salariés, le courant de sympathie que recueillent les nombreux arrêts de travail dans les entreprises et établissement avec des taux de grévistes importants à la SNCF, la RATP marquent la volonté et l’espoir d’inverser la logique d’une soumission programmée à la loi du marché, à la libéralisation du travail et de la société sous toutes ses formes.

 

Le mouvement multiforme en construction, à la fois intergénérationnel et unitaire repose sur un rejet du projet El Khomri qui incarne un recul civilisationnel inédit mais aussi sur des volontés fortes de voir émerger des réponses concrètes aux revendications des salariés, des privés d’emploi, des retraités actuels et à venir.

 

 

Cette journée d’action se situe également à un moment important où le gouvernement avec le patronat désirent peser négativement sur les négociations UNEDIC et liquider une partie des dispositifs de compensation des retraites complémentaires (AGFF). Aujourd’hui ils doivent changer d’orientations et prendre en compte le niveau de mécontentement et les propositions formulées par les syndicats.

 

Les organisations de jeunesse et syndicales vont dans les prochains jours se retrouver pour analyser cette première journée de mobilisation et décider ensemble les suites à donner à un processus d’action qui va et doit se renforcer.

 

La CGT appelle les salariés partout à rester attentifs, mobilisés et à se préparer au plus tard à réussir l’action du 31 mars prochain.

 

Montreuil, le 9 mars 2016

Partager cet article