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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 13:42

 

Adhérer à la CGT, c'est prendre son destin en main !

 

 

 

 

Adhérer à la CGT, c'est prendre son destin en main !

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20 août 2015 4 20 /08 /août /2015 09:39

Les futures zones touristiques internationales à Paris: une véritable provocation pour les salariés du commerce !

 

 

 

 

 

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12 août 2015 3 12 /08 /août /2015 10:31

 

Un CGT Infos "spécial été" ,

voila une idée raffraichissante !

 

 

à voir ici !

 

 

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5 août 2015 3 05 /08 /août /2015 10:53

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 10:50
Temps de travail : Aucune régression n'est envisageable !

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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 09:24

GRECE :

« Il y a besoin qu'un rapport de forces s'installe dans chaque pays »

Philippe Martinez

 

 

 

 

 

POINT DE VUE. La pression de l'UE et du FMI montre que la démocratie en Europe a ses limites, souligne le dirigeant de la CGT, qui réaffirme sa solidarité avec les salariés grecs.

 

Le plan adopté est un plan d'austérité grave. Nous ne l'accepterions pas ici. Le recul de l'âge à la retraite d'abord, puis la possibilité d'expulser les gens qui ne paient pas leurs dettes ensuite, ne sont pas de nature à satisfaire les salariés. On l'a vu la semaine dernière avec la mobilisation des fonctionnaires à qui la CGT a envoyé un message de solidarité.

 

 

 

 

Pour la CGT, il ne s'agit pas de soutenir ou de ne pas soutenir un gouvernement, il s'agit d'être auprès des salariés. Même si la situation syndicale de la Grèce est complexe, nous y avons des liens avec des organisations syndicales. Dans mon passé de dirigeant de la Fédération de la métallurgie, nous avions déjà eu des échanges avec des métallurgistes grecs lorsque l'ancien gouvernement socialiste avait essayé de criminaliser l'action syndicale (le responsable syndical avait été convoqué au tribunal après une manifestation ­ NDLR).

 

Nous poursuivons les relations avec eux, même si la situation en Grèce concerne d'abord les salariés grecs. Sans mouvement social fort, nous voyons bien les limites du volontarisme politique et les peuples espagnol et français ont à craindre que les mesures d'austérité que subissent les Grecs ne leur soient bientôt appliquées.

 

 

 

Le capital et ses représentants n'abandonnent jamais la course aux profits. En Grèce, en France, partout. C'est pour cela que, quelle que soit la nature du gouvernement, les organisations syndicales doivent porter les revendications des salariés et créer un rapport de forces. D'autant qu'il y a un vrai problème avec certains gouvernements européens qui ont une conception particulière de la démocratie. D'ailleurs, la pression qu'exercent l'Union européenne et le FMI a valeur d'exemple pour les autres citoyens. Elle montre que la démocratie en Europe a ses limites. Il y a donc besoin qu'un rapport de forces s'installe dans chaque pays, à partir de situations ayant la même logique mais avec leurs différences liées à chaque État. Il y a besoin d'un développement du mouvement revendicatif au sein de rapports de forces convergents.

 

 

 

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20 juillet 2015 1 20 /07 /juillet /2015 09:16

 

 

 

Les 10 plus grandes fortunes de France rassemblent au total 195 milliards d'euros.

 

Alix Vinégla

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mercredi 8 juillet, comme chaque année, Challenges a publié son classement des plus grandes fortunes françaises. Retour sur des chiffres aberrants.

 

 

 

 

En tête du classement du magazine économique Challenges, Bernard Arnault, le patron de LVMH, conserve la première place, avec une fortune estimée à 34,7 milliards d'euros. Il est suivi par Liliane Bettencourt, héritière de L'Oréal, avec 30,9 milliards d'euros d'euros. Axel Dumas, patron d'Hermès international, gagne une place cette année et arrive troisième, avec 24,1 milliards d'euros, devant Gérard Mulliez du groupe Auchan.

 

Le patron d'Altice fait désormais partie de la famille des « gros bonnets »

 

Patrick Drahi, le patron d'Altice, fait une entrée fulgurante dans le classement des plus grandes fortunes de France, il passe directement de la 12ème à la 6ème place. À la tête d'Altice (SFR et Numericable en France, Portugal Télécom, etc.), mais aussi des titres de presse comme Libération, sa fortune est estimée à 16,7 milliards d’euros. Et sa fortune est en excellente santé, si on se fie au fait qu'Altice, le 23 juin dernier, a fait une proposition de plus de 10 milliards d'euros pour le rachat de Bouygues Telecoms. Patrick Drahi lorgne maintenant sur le câblo-opérateur Cablevision, selon un article du Wall Street Journal.

 

 

Des chiffres aberrants

Les 10 plus grandes fortunes de France rassemblent au total 195 milliards d'euros.

 

En 2014, les dix plus riches de France possédaient 141,5 milliards d'euros, leur fortune a donc augmenté de 53,5 milliards d'euros depuis l'année dernière (classement Challenges 2014), soit en moyenne plus de 5 milliards d'euros d'augmentation par membre du top 10. Concrètement, une augmentation annuelle de 5 milliards d'euros représente un « salaire » net de 417 000 000 d'euros par mois (soit 285 874 fois le smic) pendant un an.

 

 

Cela représente une hausse des fortunes de 38 % en un an. En comparaison, le PIB de la France n'a augmenté que de 0,2 % en 2014 et le smic de 0,8 % sur cette même période, passant de 1 445,38 € au 1er janvier 2014 à 1 457,52 € au 1er janvier 2015. Des chiffres qui laissent penseurs en cette période de crise pour les ménages.

 

 

 

 

De quoi effacer la dette grecque

Si on examine les chiffres en détail, l'argent des dix personnalités les plus riches de France représentent 195 milliards d'euros, soit 60,6 % de la dette grecque (321, 7 milliards d'euros).

 

L'augmentation des dix plus grandes fortunes françaises (53,5 milliards d'euros cette année) représente un sixième (17 %) de la dette grecque. Autrement dit, en considérant que l'augmentation des fortunes reste la même (alors qu'en vérité les augmentations gonflent un peu plus chaque année), la dette grecque serait remboursée en l'espace de six ans par la simple augmentation des dix plus grandes fortunes de France.

 

Les dix plus grandes fortunes mondiales, avec leurs 549,7 milliards d'euros, couvrent quant à elles 171 % de la dette grecque.

 

Les chiffres parlent d'eux-mêmes ; le problème n'est pas un manque d'argent mais une malheureuse répartition des richesses. Les plus riches, toujours plus riches, sont paradoxalement les moins taxés et jouent d'un système fiscal trop tendre envers eux.

 

 

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1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 13:12
Grèce : qui a peur de la démocratie ?
 
 
mardi, 30 juin 2015

 

 

 

 

 

Le peuple Grec subit depuis janvier dernier, une pression et un chantage intolérables de la part des institutions européennes, des gouvernements de la zone Euro et du Fonds Monétaire International. Ces derniers refusent d’accepter le verdict des urnes et l’élection démocratique d’un nouveau gouvernement qui propose des alternatives crédibles aux politiques d’austérité imposées par le monde de la finance.

 

Depuis le mois de janvier, le nouveau premier ministre Alexis TSIPRAS remet en cause les plans d’austérité dont sont victimes des millions de citoyens grecs. Il propose des mesures économiques et sociales adossées à des réformes visant à une plus juste répartition des richesses dans le but d’œuvrer à une véritable justice sociale, à l’égalité des droits, à la transparence politique et fiscale, bref à la démocratie.


L’augmentation du salaire minimum, le rétablissement du treizième mois de pension de retraites, le renforcement des services publics, le développement de politiques en termes de logement et d’éducation font parties des mesures urgentes dont a besoin le peuple grec.

 

 

Cela doit d’abord passer par un moratoire sur le service de la dette, afin que les sommes conservées soient affectées au redressement de l’économie et que le remboursement de la dette n’empêche pas toute possibilité de redressement économique.


Cela doit aussi passer par la recapitalisation des banques, sans que les sommes ne soient comptabilisées dans la dette publique du pays.

 

Depuis plusieurs mois, une « négociation » est engagée entre le gouvernement grec et les institutions européennes pour trouver une issue à cette crise. Des compromis ont été acceptés, le calendrier des réformes revu. Mais en guise de conclusion, c’est un véritable diktat que proposent MERKEL, HOLLANDE et LAGARDE. Pour eux, une seule solution : la soumission aux exigences des banques !

 

En référer au peuple, quoi de plus normal ! C’est ce que propose le premier ministre grec en organisant un référendum le 5 juillet prochain.


Pourtant, une nouvelle fois, cet acte démocratique est contesté. Au mieux, ce serait au conseil européen de choisir la question qu’il faut poser aux grecs.

 

 

Derrière la pression exercée sur le peuple grec, c’est l’ensemble des citoyens d’Europe que l’on souhaite bâillonner. Le FMI et les dirigeants européens veulent faire de la Grèce, un exemple pour tous ceux qui souhaitent rompre avec cette logique austéritaire et faire entendre une autre voix.


C’est le principe même de la démocratie qui est remis en cause !

 

La CGT condamne ce chantage et apporte une nouvelle fois son soutien au peuple et aux salariés grecs. En Grèce comme en France, nous revendiquons une véritable démocratie sociale et politique qui donne la parole aux salariés dans les entreprises, aux citoyens dans leur pays.


C’est pourquoi, la CGT appelle les salariés à participer massivement au rassemblement organisé à Paris, place de la Bastille, jeudi 2 juillet à 18h30 ainsi qu’à toutes les manifestations organisées en France dans les prochains jours.

 

Montreuil, le 30 juin 2015

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25 juin 2015 4 25 /06 /juin /2015 10:11

 

Note aux syndicats sur la réunion du 16 juin 2015 :

Négociations parcours professionnels, carrières, rémunérations

 

 

 

 

 

La toute première observation est qu’au-delà des grilles, qui focalisent légitimement l’attention, l’accord qui sera proposé à la signature abordera de nombreuses dispositions relatives au déroulement de carrière, à la gestion des corps et cadres d’emploi, à "l’attractivité" de la fonction publique, à l’égalité professionnelle (du point de vue du classement des corps et cadres d’emplois féminisés dans la grille), aux modalités des négociations salariales.

 

L’accord constituant un ensemble (sans sous-signature de telle ou telle partie comme pour les accords Jacob), toutes les dispositions seront importantes et, pour l’essentiel, sont à appréhender ensemble.

 

Alors que sur la grille le gouvernement affirme être au bout de ses propositions, sur toutes les autres questions, les choses ne sont pas encore complètement calées.


Le texte du protocole sera négocié à partir de la réunion du 30 juin, pour un texte présenté par la ministre le 9 juillet. Des bilatérales permettront d’avancer parallèlement aux 4 réunions plénières d’ici le 9 juillet.

 

Concernant la grille, nous vous joignons les documents reçus.

 

 

Les conditions du déroulement de carrière, du reclassement d’une grille à l’autre (surtout pour la catégorie C), font aussi partie de l’appréciation de la grille. Nous ne disposons pas encore de l’ensemble de ces informations.

 

Concernant le calendrier, il est ramené de 2022 à 2020, avec une première étape de revalorisation sur la grille en 2017.

 

L’affirmation du principe garantissant pour tous les agents l’accès au minimum à un deuxième grade est importante, mais demande à être précisée quant à sa déclinaison.


Concernant la filière sociale, pour l’instant seule la décision de passage de la filière sociale en catégorie A est claire, le modèle étant celui des paramédicaux.


Concernant les bornages indiciaires de la catégorie A-type, ils seront harmonisés avec les corps enseignants et d’ingénieurs. De nombreux corps d’ingénieurs sont sur d’anciens bornages (enseignement supérieur et recherche,…).

 

La revalorisation de la valeur du point d’indice ne faisait explicitement pas partie de la négociation depuis le début. Pour la CGT, qui a toujours refusé que les déroulements de carrière (passages d’échelon, promotions, meilleure prise en compte des qualifications,...) soient mêlés aux négociations salariales proprement dites, le principe n’est pas choquant en soi.

 

Cependant, il va de soi que dans le contexte de gel inacceptable de la valeur du point d’indice que nous subissons, un engagement explicite du gouvernement sur sa revalorisation serait d’une importance particulière dans le contexte de cette négociation.

 

 

Concernant une première interprétation des grilles proposées par le ministère, quelques points sont à retenir.

 

La durée "statutaire" pour dérouler un grade est stable ou peu modifiée.

 

Le SMIC actuel équivaut à l’indice 315 majoré.
L’indice initial de la catégorie C passera à 330 (majoré).
L’indice terminal de la catégorie C se rapproche de l’actuel indice terminal du premier grade de la catégorie B, 486. Cet élément contraint à une réévaluation des catégories B et A.

 

L’indice initial de la catégorie B passera à 343 (majoré).
L’indice terminal du deuxième grade du B passe à l’ancien indice terminal du CII antérieur au NES, 534.
L’indice terminal de la catégorie B passe à 587.

 

L’indice initial de la catégorie A passera à 390 (majoré).
L’indice terminal du deuxième grade du A passe à l’indice maximal de la grille : 1015 brut et 821 majoré.
Tableaux grilles indiciaires (PPCR au 17 juin 15) (Voir pièce jointe en PDF)

 

 

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17 juin 2015 3 17 /06 /juin /2015 11:27

 

Communiqué de la CGT Fonction Publique suite aux annonces de la ministre sur les carrières et rémunérations

 

 

 

 Communiqué suite aux annonces de la ministre sur les carrières et rémunérations
 Communiqué suite aux annonces de la ministre sur les carrières et rémunérations
 Communiqué suite aux annonces de la ministre sur les carrières et rémunérations
 Communiqué suite aux annonces de la ministre sur les carrières et rémunérations
 Communiqué suite aux annonces de la ministre sur les carrières et rémunérations

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