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9 janvier 2015 5 09 /01 /janvier /2015 09:27

« Je suis Charlie »

 charlie-amour-haine.jpg

 

Le Club de la Presse et les forces républicaines du Nord-Pas de Calais (associations, organisations politiques et syndicales) se joignent aux initiatives citoyennes, en soutien aux victimes de la tuerie de Charlie-Hebdo.
      Ils refusent les atteintes à la liberté d'expression et toute tentative d'amalgame.
 

 

club-presse-npdc.jpg

 

 Ils appellent à une marche citoyenne, derrière une banderole unique, « Je suis Charlie »

 

samedi 10 janvier, à Lille

départ de la Porte de Paris, à 14h30.

Le cortège rejoindra la place de la République.

Ne laissons pas les ennemis de la liberté faire leur loi.

Premiers signataires :

Club de la Presse Nord-Pas de Calais
> Europe Ecologie – Les Verts
> Ensemble
> Ecole Supérieure de Journalisme de Lille
> Fédération Syndicale Unitaire
> Ligue des Droits de l'Homme
> Mouvement contre le Racisme et pour l'Amitié entre les Peuples
> Mouvement Républicain et Citoyen
> Mouvement des Jeunes Socialistes
> Parti Communiste Français
> Parti de Gauche
> Parti Radical de Gauche
> Parti Socialiste
> Syndicat National des Journalistes
> Syndicat National des Journalistes CGT
> Union des Démocrates et des Indépendants
> Union pour un Mouvement Populaire
> Union syndicale des journalistes CFDT

 

    charlie-une-90115.JPG

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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 15:47

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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 08:41

Thierry Lepaon et le bureau confédéral remettent leur mandat à disposition de la CGT

huma-titre.jpg  CLOTILDE MATHIEU, YVES HOUSSON                                                 
Hier, Thierry Lepaon a proposé que l’ensemble du bureau conféféral remette son mandat à la disposition du comité confédéral national. La commission exécutive, qui a examiné les conclusions de l’enquête sur les dysfonctionnements internes arrête sa position aujourd’hui.
Thierry Lepaon n’a pas démissionné mais a remis, hier, selon plusieurs sources, son mandat à la disposition du comité confédéral national (CCN), tout comme les huit autres membres du bureau confédéral (direction) de la CGT, le neuvième, administrateur trésorier, Éric Lafont, ayant déjà démissionné. Une décision collective, qui semblait inéluctable devant la montée ces derniers jours des appels à la démission au sein de la confédération. Il revient maintenant au « parlement » de la CGT de décider le 13 janvier de l’avenir de son secrétaire général. « C’est comme une démission à ceci près que la commission exécutive confédérale (CEC) peut proposer une nouvelle direction intégrant des membres du bureau confédéral actuel », a expliqué Gilbert Garrel, secrétaire général de la fédération des cheminots.
 
 
Ce dernier n’a toutefois pas souhaité « donner une appréciation personnelle » sur la situation, attendant le « débat démocratique » dans la fédération des cheminots qui tiendra son bureau fédéral aujourd’hui et son comité exécutif jeudi. Selon les statuts de la CGT, il revient à la CEC de soumettre au parlement une proposition pour la direction confédérale. En clair, chaque membre du bureau confédéral qui a remis son mandat peut être repêché, d’autres candidats peuvent être proposés par la commission exécutive. Le parlement pourra ensuite valider ou rejeter l’équipe de direction proposée par la CEC. Lundi, dans le Monde, Louis Viannet, l’ancien secrétaire de la CGT de 1992 à 1999, avait estimé « que le secrétaire général se grandirait, en annonçant, avant même la réunion du CCN, sa décision de remettre son mandat à la disposition du CCN ».
 
vianney-70115.jpg
 
Les tensions restaient hier soir toujours fortes au sein de la commission exécutive qui, selon un communiqué, n’avait encore « rien définitivement acté », ses travaux se poursuivant aujourd’hui. Dès leur arrivée à Montreuil, les 56 membres de la CEC ont eu droit aux conclusions de la commission financière de contrôle (CFC), mandatée par le parlement de la CGT pour enquêter et « faire toute la lumière sur le dysfonctionnement ». Dévoilés en partie dans le Parisien mais confirmés par plusieurs membres présents à la réunion, les éléments donnés montreraient que le secrétaire général aurait touché un salaire de 5 200 euros net, puis 4 000 euros à partir de décembre 2014, alors que ce dernier avait affirmé qu’il « avait demandé à faire baisser » son salaire « dès son arrivée », en mars 2013. Quant aux travaux de son appartement, Thierry Lepaon n’en aurait vraisemblablement pas appris le montant dans « la presse » mais « se serait tenu régulièrement au courant de l’avancée du chantier », affirme le Parisien. Un premier rapport d’étape avait été rendu en décembre aux cadres de la CGT lors d’une réunion informelle, dénonçant des montants de travaux « manifestement trop élevés » ainsi que des « factures exagérées ».
 
 
Concernant la rénovation du bureau de Thierry Leapon au siège de la confédération à Montreuil, la commission financière de contrôle relève, d’après le Parisien, que la facture de 65 000 euros ne prendrait pas en compte, contrairement aux déclarations du secrétaire général, les frais de chauffage et de climatisation, dispositif « collectif ». Hier, ces nouvelles informations ont d’abord entraîné un silence de plomb dans la salle, avant d’entraîner de vives réactions entre membre de l’exécutif. Et la réaction de Thierry Lepaon n’était pas connue.

LA COMMISSION EXÉCUTIVE DU SYNDICAT PRENDRA SES DÉCISIONS AUJOURD’HUI.

La décision des membres du bureau confédéral de remettre leur mandat en jeu apparaît comme un premier pas vers la sortie d’une crise qui avait éclaté le 29 octobre, après les révélations du Canard enchaîné sur les travaux de rénovation de l’appartement de fonction de Thierry Lepaon (120 000 euros). C’est alors un premier choc, profond, pour le syndicat, amplifié par l’écho que donne l’ensemble de la presse à ces informations.
 
 
 viannet 060115
 
 
 
Le coup est d’autant plus sévère qu’il intervient à un mois des élections professionnelles dans la fonction publique. Devant le comité confédéral national, le 4 novembre, Thierry Lepaon reconnaît une faute collective, avec des responsabilités individuelles, et pointe le doigt sur les comportements déloyaux de dirigeants tout en incriminant une violente campagne médiatique. Le 5, l’ancien secrétaire général Bernard Thibault parle, sur Europe 1, de «mauvaise passe » pour le syndicat et prend des distances avec Thierry Lepaon en disant faire « confiance à ceux qui sont élus pour diriger la CGT » pour résoudre la crise, sans citer le nom de son successeur.
 
Le 25 novembre, deuxième choc: le Canard enchaîné affirme que la CGT a dépensé 62 000 euros pour rénover le bureau de son numéro un. Pour cette facture, comme pour celle concernant l’appartement, l’intéressé affirme n’avoir pas été informé. Le 1er décembre, la crise prend une dimension supplémentaire avec la révélation, dans l’Express, des indemnités perçues par Thierry Lepaon (26 650 euros selon lui) lors de son départ de l’union régionale de Normandie, en 2013, avant de rejoindre la confédération à Montreuil. Pour beaucoup de militants, cette dernière affaire est vécue plus douloureusement, rien ne semblant venir la justifier.
 
Tout au long du mois de décembre, des fédérations et des unions départementales prennent position et demandent, de plus en plus souvent, la démission du secrétaire général et, parfois, celle du bureau confédéral au complet. Après les fédérations des services publics, de la fonction publique, de la construction, celle de la métallurgie, par exemple, juge le 19 décembre que « le secrétaire général a perdu toute crédibilité en interne comme en externe de la CGT et que la seule option est de démissionner ». Mais, estimant que les membres du bureau confédéral « ont une part de responsabilité importante dans la situation », elle affirme que « la question de leur démission devait être également posée ».
 
Le 16 décembre, lors d’une assemblée des secrétaires généraux des organisations, Thierry Lepaon répond point par point à toutes les accusations dont il fait l’objet. À la suite, la direction convoque la commission exécutive pour les 6 et 7 janvier, afin de « valider des propositions d’évolution totale ou partielle de la composition du bureau confédéral ». Le manque de cohésion de cet organe exécutif apparaît en effet désormais flagrant. Cela renvoie aux conditions de sa mise en place, ainsi qu’à l’élection de Thierry Lepaon, lors du 50e congrès en 2013, après de longs mois de tensions, de divisions, d’affrontements. Avant l’intervention, lundi, de Louis Viannet, d’anciens dirigeants du syndicat étaient entrés dans le débat, en particulier Georges Séguy, qui, dans une tribune publiée par l’Humanité, avait, à rebours du discours de Thierry Lepaon, estimé que « la médiatisation n’est pas l’essentiel ».
 
Au-delà des problèmes de direction, et des graves dysfonctionnements internes mis au jour, cette crise est, pour beaucoup, l’occasion de poser des « questions de fond ». Il faut, dit-on par exemple à la fédération de la métallurgie, « définir une stratégie et une orientation politique claire comprise des militants, des syndiqués, premières victimes de cette situation ». Les choix de structuration du syndicat, son rapport au politique, aux autres syndicats, sont aussi en débat. Autant de sujets qu’il reviendra à la nouvelle direction de traiter, dans la perspective du prochain congrès et dans un contexte d’exigences accrues d’écoute et de débat de la part des militants.

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6 janvier 2015 2 06 /01 /janvier /2015 09:01

 

 

voeux-cgt-2015.jpg

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29 décembre 2014 1 29 /12 /décembre /2014 10:15

Pour une inversion de la courbe du chômage

Ne croyons plus au Père Noël !

 

 

gnace-pere-noel.jpg

 

Les chiffres du chômage pour le mois de novembre viennent de tomber et de nouveaux, tous les clignotants restent au rouge.

 

Le chômage des jeunes augmente de 0,5%, celui des seniors de 1%, celui de longues durées de 0,2% en novembre.

 

Ce sont 27 400 demandeurs d’emploi supplémentaires en novembre en catégorie A et 22 100, catégories A, B, C confondues. Malgré les annonces, les contrats aidés, les cadeaux aux entreprises au nom de l’emploi, rien n’y fait. Le nombre de demandeurs d’emploi continue sa progression.

 

Alors de quoi avons-nous besoin ?

 

Pour la CGT, la clé est dans une autre politique de l’emploi et des salaires. Les évolutions législatives comme les accords nationaux interprofessionnelles, notamment celui du 13 janvier 2013, concourent à une baisse de pouvoir d’achat.

 

D’abord pour les demandeurs d’emploi qui, avec la nouvelle convention d’assurance chômage, vont devoir financer les 800 millions d’économie prévus dans celle-ci.

 

Ensuite les 15 millions de retraités qui, après la perte de la demie part fiscale pour les veufs et les veuves en 2008, la fiscalisation de la majoration de 10% pour 3 enfants et plus, les 0,3% au 1er avril 2013 pour financer la perte d’autonomie, la sous indexation de 1% en dessous de l’inflation prévue dans l’accord de mars 2013 sur les retraites complémentaires, enfin le report de la revalorisation des pensions au 1er octobre 2015 selon la loi rectificative du financement de la sécurité sociale votée le 23 juillet dernier.

 

joyeuses_fetes_cgt-05504.jpg

 

Les salariés ne sont pas en reste avec des revalorisations de salaires bloquées par les employeurs dans les entreprises du privé, le refus de donner un coup de pouce au SMIC et la non revalorisation du point d’indice pour les fonctionnaires depuis 2010.

 

Toutes ces mesures ont une même conséquence, un pouvoir d’achat atone et une consommation en berne.

 

Quand on sait que la consommation compte pour 57% dans le produit intérieur brut, tout le monde comprend que les politiques menées nous mènent droit dans le mur.

 

C’est pourquoi la CGT défend une autre politique par la fin des aides aveugles aux entreprises, par une relance de la consommation et par une remise à plat du financement de la protection sociale qui favorisera l’emploi.

 

Ne comptons pas sur le Père Noël dans cette période de fêtes mais sur la mobilisation des salariés qui pourront, dans l’unité, changer la donne.

 

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19 décembre 2014 5 19 /12 /décembre /2014 09:39

 

 

Cuba/États-Unis

Un pas positif

       

 

bloqueo-cuba.jpg

 

 

Depuis plus d’un demi-siècle des politiques agressives ont été mises en place par Washington pour mettre à bas l’indépendance du peuple cubain issue de la révolution.

 

L’annonce, hier, de la reprise des relations diplomatiques entre les deux pays est un pas franchi, tout comme la libération de trois des cinq cubains qui croupissaient dans les geôles des États-Unis.

 

La CGT était engagée pleinement dans la bataille pour leur libération. Thierry LEPAON, son secrétaire général, l’avait réaffirmé à nos camarades de la centrale des travailleurs de Cuba (CTC) et leur secrétaire général lors de leur venue au siège de notre organisation, en juin dernier. Il le réaffirma aussi lors d’une rencontre, en septembre, avec l’ambassadeur de Cuba en France et René GONZALES (l’un des cinq déjà libérés).

 

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La CGT salue donc ces annonces et cette étape franchie qui est une première victoire du peuple cubain dans sa résistance à l’impérialisme américain. D’autres seront nécessaires pour mettre fin une fois pour toute au blocus inhumain imposé depuis 54 ans au peuple cubain et qui pèse lourdement sur le développement de l’Ile.

 

La levée totale de l’embargo illégal et illégitime, condamné à maintes reprises à la quasi-unanimité des Nations unies, est aujourd’hui une exigence absolue.

 

cienfuegos-che.jpg

  

La CGT et ses organisations, fortement investies dans ce combat pour la liberté, continueront de s’y employer !

 

Montreuil, le 18 décembre 2014

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14 décembre 2014 7 14 /12 /décembre /2014 14:03

affiche-debat-eau-18-dec14.jpg 

 

Vous êtes peut-être déjà signataires de la pétition initiée par le collectif (sinon, cette pétition est toujours disponible ici). Le collectif pour une régie publique de l'eau et les premiers m³ gratuit de Lille métropole vous remercie. Néanmoins, les choses s'accélèrent sur ce dossier et c'est un engagement supplémentaire que le collectif vous demande aujourd'hui :

Vous mobiliser en vous rendant à

la réunion publique organisée

le 18 décembre prochain à 19h

à la Halle aux Sucres

32 Avenue du Peuple Belge, LILLE

 Lille_halle_aux_sucres.jpg

 

  

Vous mobiliser à nouveau le 19 décembre pour un rassemblement devant la LMCU à partir de 16h30,

juste avant le prochain conseil communautaire, le dernier avant celui qui devrait trancher le mode de gestion de l'eau, pour affirmer aux élus votre volonté de passer en régie

Participer à une souscription qui permettra au collectif de financer ses actions.

Face à des multinationales dont les moyens sont sans commune mesure avec les nôtres, le collectif a en effet besoin d'argent pour financer ses actions et les multiplier. Cela pourrait aussi permettre au collectif de faire appel à des experts. C'est pourquoi le collectif s'est constitué en association. De plus, en donnant, vous pourrez devenir adhérents de l'association, être informés des actions menées et même les décider. Par ailleurs, cette souscription vous donne droit à un crédit d'impôt égal à 66 % de votre don en 2015.

Alors, on se mouille pour défendre notre bien commun ?

Un contrat qui arrive à échéance, avec un bilan catastrophique de la SEN Aujourd'hui, cette gestion est confiée à la Société des Eaux du Nord (SEN), filiale de Suez, mais le contrat arrive à échéance en 2015. La gestion des Eaux du Nord a été marquée par une dette révélée par la Chambre Régionale des Comptes. Un rapport de cette instance a en effet révélé que la SEN a facturé aux usagers de 1985 à 1997 des provisions d’un montant d'au moins 156 millions d’euros pour des travaux non effectués. Citons également un taux de fuite de 20%, soit 32 litre/ jour / Habitant en raison d'un manque d’investissement dans le réseau (taux de renouvellement: 0,73% sur 30 ans, soit une durée de vie des tuyaux de 137 ans, alors que la durée de vie de ceux-ci est estimée entre 40 à 80 ans). Cette dette a été réduite, de médiations en arrangements, à 115 millions d'euros. Il reste aujourd'hui sur ce montant encore 55 millions d’euros dus... La délibération du 21 juin 2013 Une étape importante a eu lieu le 21 juin 2013, date à laquelle la LMCU a décidé de lancer une nouvelle délégation au privé de la distribution de l'eau, même si Martine Aubry affirmait dans le même temps que « la possibilité d'une régie publique de distribution d'eau reste à l'étude » (cf. délibération). Concernant la distribution de l'eau, la décision définitive doit être prise début 2015. LMCU doit donc très prochainement décider si elle délègue cette mission de service public ou si elle opte au contraire, comme de nombreuses grandes villes l'ont fait ces dernières années, pour une régie publique. La date du choix est fixée au 13 février. Les sortants sont sortis Depuis cette délibération et suite aux élections municipales, l'exécutif de Lille Métropole a changé. Or, tout récemment, un coup de théâtre a eu lieu sur ce dossier avec l'éviction de l'offre de Suez. En effet, les Eaux du Nord (Suez) avaient répondu à l'appel d'offre issu de la délibération du 21 juin 2013 mais la Commission de délégation de service public de Lille Métropole a déclaré cette offre irrecevable. Ne reste donc plus en course que Véolia et la régie publique. A moins que Suez, qui conteste son exclusion, obtienne gain de cause...

Le retour à craindre de Véolia L'éviction de l'offre de Suez est une bonne nouvelle, vu le bilan de leur gestion. Néanmoins, Véolia ne peut incarner le changement : jusqu’en 2010 la Société des Eaux du Nord était filiale à 50/50 de Véolia et Suez ! Plus tard la loi européenne sur la concurrence a interdit ce genre de filiale. Les multinationales se sont donc réparti autrement le marché: Lille revient alors à Suez. Alors, choisir aujourd’hui Véolia, c’est choisir un des deux acteurs qui amena le bilan catastrophique que l’on connaît. D'ailleurs, Véolia n'a jamais vraiment quitté la métropole lilloise puisque cette multinationale a repris à Suez l'affermage de la station d'épuration de Marquettes, au détriment des salariés qui ont perdu primes et avantages au bout des 15 mois prévus par la loi pour les négociations salariales. La dette réduite à 8,7 millions et black out sur l'avenir de la gestion… Suite à notre interpellation, la LMCU nous a indiqué tout récemment qu'après une nouvelle négociation entre LMCU et Suez, la dette était réduite à 8,7 millions d'euros… Sur les raisons de ce nouveau chiffrage scandaleusement favorable à la multinationale, sur le cahier des charges de l'appel d'offre lancé, ou encore sur l'état des réflexions internes à la LMCU sur la régie – sachant que notre collectif a déjà produit une documentation abondante montrant tout l'intérêt de celle-ci par rapport à la délégation au privé – , LMCU refuse pour l’instant de communiquer.

C'est donc maintenant qu'il faut se mobiliser pour un service public de l'eau dans la métropole, en régie, et pour les premiers m³ gratuits !

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9 décembre 2014 2 09 /12 /décembre /2014 14:04

 

 

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5 décembre 2014 5 05 /12 /décembre /2014 08:11

Chers (es) camarades,

 

A l’issue de ces élections du 4 décembre, notre campagne basée sur la confiance dans les agents de notre administration vient de porter ses fruits.

 

A travers notre souhait de mettre en avant celles et ceux qui font quotidiennement notre administration, nos collègues se sont retrouvés.

 

En votant pour la CGT à près de 40% au CTP, ils ont voté pour eux !

Pour que l’Humain ait une place essentielle dans notre métropole européenne naissante.

 

« Votez pour vous », c’est ce qu’ont compris nos collègues en désignant la CGT comme première organisation syndicale de Lille métropole.

 

Nous continuerons votre travail avec détermination et conviction.

 

Notre syndicat tient à remercier les collègues ayant voté pour la CGT, ayant voté « pour eux ».

 

Le résultat de ces élections vient de confirmer la légitimité de la CGT Lmcu.

Félicitations,

 

Bien à vous, la CGT lmcu.

 

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4 décembre 2014 4 04 /12 /décembre /2014 08:09

 

 Aujourd'hui, on vote CGT !

vote cgt babouse

 

 Ouverture des bureaux de vote de 8h00 à 17h00

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